Catégorie : L’Homme

Avec confiance, se lancer dans l’aventure …

 

 

Avec courage, avancer d’un bon pas.

Heureux l’enfant qui peut compter sur ses parents !


Fumer masqué

 

 

 

 


Covid 19 : Être confiné dans la rue

 

 

confiné derrière ses sacs à deux pas de la collégiale St Martin

 et qu’en sera-t-il demain et après demain ?

 

Merci à toi, homme SDF, qui m’a autorisée à prendre cette photo.


Promener son chien

 

 

Allez, on rentre !

 

 

Comment ça non ? Si si, j’t’assure, faut rentrer !


Demeurer cloîtré, Écouter le silence

 

 

 

 

Irina Lankova –  Bach/Marcello – Adagio

 

 

 


Dire les choses en musique

 

 

 

« Lament » – Catherine Rollin

(Piano : Nanegrub)


Fermer les yeux et écouter

 

B.Righetti : J.S.Bach & G.Liardon, Christ lag in Todesbanden

 

« Au milieu du temps de Carême,

les circonstances actuelles me donnent envie de déjà chanter Pâques et la résurrection, sans attendre.

La mort n’aura pas le dernier mot,

la Vie l’emporte et l’emportera. » 

B.Righetti

 

Enregistré à l’église Saint-François, à Lausanne (Suisse), le 21 mars 2020. » 


Redécouvrir le pouvoir de la vie

 

« C’était en mars 2020 …
Les rues étaient vides, les magasins fermés, les gens ne pouvaient plus sortir.
Mais le printemps ne savait pas,
et les fleurs ont commencé à fleurir,
le soleil brillait, les oiseaux chantaient,
les hirondelles allaient bientôt arriver, le ciel était bleu, le matin arrivait pus tôt.

C’était en mars 2020 …

Les jeunes devaient étudier en ligne, et trouver des occupations à la maison,
les gens ne pouvaient plus faire de shopping, ni aller chez le coiffeur.
Bientôt il n’y aurait plus de place dans les hôpitaux, et les gens continuaient de tomber malades.
Mais le printemps ne savait pas,
le temps d’aller au jardin arrivait, l’herbe verdissait.

C’était en mars 2020 …

Les gens ont été mis en confinement pour protéger les grands-parents, familles et enfants.
Plus de réunion ni repas de fête en famille.
La peur est devenue réelle et les jours se ressemblaient.
Mais le printemps ne savait pas,
les pommiers, cerisiers et autres ont fleuri, les feuilles ont poussé.
Les gens ont commencé à lire, jouer en famille, apprendre une langue,
chantaient sur le balcon en invitant les voisins à faire de même,
ils ont appris une nouvelle langue, être solidaires, et se sont concentrés sur d’autres valeurs.
Les gens ont réalisé l’importance de la santé,
la souffrance de ce monde qui s’était arrêté, de l’économie qui a dégringolé.
Mais le printemps ne savait pas.
Les fleurs ont laissé leur place aux fruits,
les oiseaux ont fait leur nid, les hirondelles étaient arrivées.
Puis le jour de la libération est arrivé,
les gens l’ont appris à la télé, le virus avait perdu,
les gens sont descendus dans la rue,
chantaient, pleuraient, embrassaient leurs voisins, sans masques ni gants.
Et c’est là que l’été est arrivé,
parce que le printemps ne savait pas.
Il a continué à être là malgré tout, malgré le virus, la peur et la mort.
Parce que le printemps ne savait pas,
il a appris aux gens le pouvoir de la vie. »

Se souvenir

 

 

Faire un petit tour au cimetière

 

 

Y découvrir une plaque de toute beauté,

une plaque pleine de tendresse filiale.

 

 

Se demander quelle mère repose ici

Serait-ce un membre de la famille de Théodore Deck ?


S’entendre comme larrons en foire

 


Conduire sans permis

Vivent les voitures sans permis !

 

 

Première leçon d’auto-école

 


Dialoguer

 


La (petite) reine des neiges version 2020

 

 


Offrir son sourire

 

« Si j’ai fait naître un sourire sur un visage aujourd’hui, j’estime ne pas avoir été inutile. »
Hamadi Ben Jerad

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« J’aime le sourire sur le visage des enfants, des femmes.

Il n’y a pas d’expression plus belle.

Il n’y a rien de plus vrai sur le visage humain, rien de plus doux, de plus harmonieux dans la personne humaine.

Le sourire vient du plus profond de l’être, du monde du sommeil peut-être,

et monte, traverse le corps lentement à la manière d’un frisson de plaisir, jusqu’à l’orée de la bouche. »

Jean-Marie Gustave le Clézio ,
L’inconnu sur la terre

 


Ôtez-moi ce body !

Maman a décidé de m’habiller ; Moi je préfère rester toute nue.
Et à coup sûr c’est encore maman qui va gagner.