Auteur/autrice : Anne Burg

En cette Nuit des Musées 2016…

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le joueur de nyckelharpa a charmé nos oreilles.

Pour entendre le son d’une de ces magnifiques vièles à clés d’amour, cliquez ICI

et pour faire un petit tour dans l’atelier du maître luthier, Jean-Claude Conti, c’est  ICI

 

 


Apprends à danser …

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sinon les anges au ciel ne sauront quoi faire de toi.

Indira Gandhi


La joueuse de flûte

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ou l’art d’imiter « Mamie-Flûte » 😉


Eloge de la simplicité

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Juste une présence
dans le secret de leur beauté
la simplicité est don

Annick

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Le monde à l’envers

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Pousser la lourde porte…

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entrer dans un merveilleux jardin de papier

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Une installation d’Hannelore Weitbrecht,

méditation sur la beauté et le cycle de la nature, des semailles à la récolte.

Les formes créées par l’artiste, proches du monde végétal, effacent la frontière entre l’art et la nature;

 leur fragilité et leur pâleur renvoient à la « possible chute ».


Le washboardiste

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Le washboardiste

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et ses copains


J’ai cherché l’ours…

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Je n’ai trouvé que l’ail.

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Pas de chance !


Larmes célestes

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Le ciel pleure des larmes de joie.


Pour quelle fête ?

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Les feuilles ont mis leurs plus beaux colliers. Le soleil vient leur rendre visite.

C’est fête aujourd’hui !


Les sabots …

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de Margot


Et Dieu créa le pissenlit …

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Dieu dit : « Que la terre produise de la verdure, de l’herbe et des arbres fruitiers et qu’ils aient en eux leur semence pour se reproduire. »

Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe et des arbres fruitiers ayant en eux leur semence pour se reproduire.

Dieu vit que cela était bon. Dieu vit que cela était beau.


L’arbre & la boule

Boule dans l’arbre

Arbre dans la boule

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Boule d’oxygène

En me promenant ce matin
Le nez au vent l’œil aux aguets
Dans la boule de cristal
J’ai cru voir le bonheur.
La lumière enveloppait le reflet de la vie
La cime des arbres chatouillait le ciel
La prairie n’était plus que tapis vert tendre.
J’avançais la tête en bas
Le cœur en bandoulière.
La ligne entre les deux mondes
N’était plus qu’illusion.
Je me suis arrêtée, je n’ai fait que respirer.
C’est une chose étrange que de sentir
Se sentir respirer
Et ne se sentir que passant.
Passant entre monde du bas et monde du haut.
En me promenant ce matin sur le rayon vert
Comme un funambule j’ai marché
Mesurant mes pas gardant l’équilibre
J’ai cru lire dans le cœur de l’arbre
Et j’ai vu le mot bonheur.

Jamadrou

 

 


Le dragueur de l’écomusée

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Toute fierté exposée
il parade
comme jeune coq
Enjolivant le décor
de son éventail

Annick


Coucou !

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