Des crayons sont tombés…
Des petites mains vont les ramasser,
les retailler, leur redonner bonne mine,
et dessiner encore et encore
l’humour et la liberté.
Des crayons sont tombés…
Des petites mains vont les ramasser,
les retailler, leur redonner bonne mine,
et dessiner encore et encore
l’humour et la liberté.
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
Droits d’auteur – Code de la Propriété Intellectuelle:
Toute utilisation d’une ou plusieurs photos présente(s) sur ce blog nécessite préalablement un accord écrit de ma part.
Merci de votre compréhension.
burganne@orange.fr
Copyright © 2024, Nanegrub . Proudly powered by WordPress. Blackoot design by Iceable Themes.
Superbes photos: très beaux portraits
Bonne journée
Merci Anne pour tes belles photos et restons unis, serrons-nous les coudes. Je suis Charlie.
Bisous
De beaux portraits !!
Nous avons dû nous croiser, je n’avais pas emporté mon appareil
L’avenir reste à écrire … pas facile !
Amitié .
Oui, tout à fait ! et cela ne sera pas facile, nous en sommes tous conscients. Au sein même de nos familles, la cohabitation pacifique est parfois (souvent) difficile…une construction sans fin mais cela vaut le coup d’essayer, encore et encore. Debout, en marche ! Bienheureux les artisans de paix…
“Conserver la ferveur, sans renoncer à la lucidité. Tel doit être l’objectif des « jours d’après ». Quel sens ont donné les marcheurs au mot « liberté » largement proclamé ? Liberté, comme libertaire, sans limites ni tabou ? Ou liberté dialoguant avec responsabilité : en quoi ma liberté risque-t-elle d’empiéter sur celle de l’autre ? Comment conjuguer liberté et sécurité, respect des droits et surveillance accrue ? Le même nécessaire exercice de définition vaut pour les notions de fraternité, d’égalité ou de laïcité. Pour que l’espoir soulevé ne s’affaisse pas aussi vite qu’il s’est levé, il convient – c’est le rôle des politiques, des éducateurs, des intellectuels ou des médias – de bien nommer les « valeurs » que nous voulons communes. Des ambiguïtés sémantiques, symptômes des divergences d’idées, naissent des malentendus et, hélas, des violences.”
Dominique Quinio
La marche parisienne était très belle et très sereine. On se sentait tous unis. Chacun faisait attention à l’autre : du jamais vu !
« Il ne faut pas bouder un moment d’unanimité. Paris vaut bien une messe et la République une petite comédie unanimiste de nos officiels qui ont su récupérer une émotion populaire.
Mais ne remplaçons pas notre réflexion par l’émotion. On est tous un peu saturés de slogans et de grands mots. La République n’est pas seulement un « Embrassons-nous Folleville ». C’est une exigence. C’est une discipline. Et c’est un courage. »
Régis Debray (La Croix – 12 janvier 2015)