Catégorie : L’Homme

Brouettes gigognes

DSC03804 - Brouettes gigognes

– Bon, et maintenant on va où avec nos brouettes ?

DSC03803 direction

– Là-bas là-bas, Papy !


La couronne

DSC03742 - La couronne

Il y a des rabat-joie

Je serai relève-joie

Il y a des bonnets de nuit

Je serai bonnet de jour

Il y a des souffre-douleur

Je serai sauve-douleur

Ne me parlez plus d’oiseaux de malheur

Je veux être pour toujours

Un petit – même tout petit –

Marchand de bonheur

À chaque jour suffit sa joie

N’est-ce pas

(Claude Haller – Poèmes du petit matin)


Egade, Mamie !

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Ouille, faire passer la cordelette par le petit trou, quel travail !

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Je m’applique …

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ça y est presque …

Petites mains - DSC03709

« Egade, Mamie ! »

( = Regarde, Mamie ! J’y suis arrivé ! )

Egade, Mamie - DSC03715


Emission TV en direct de chez Papy-Mamie

Emission en direct - DSC03393


Oh la vache !

Oh la vache ! (2) DSC03529

– Oh mais c’est qu’elle m’impressionne cette grosse bête !

Oh la vache ! DSC03531

– Allez, courage cousin, approchons-nous ! Elle ne va pas nous manger, Mamie l’a dit.

 


En avant marche, petite troupe !

Michel et les enfants - DSC02968

Par tout temps, partir du bon pied avec courage et bonne humeur.

Bonne semaine à vous tous !


Le Petit Chaperon Rose

Le Petit Chaperon Rose - DSC02782

Le Petit chaperon Rose

Le Petit chaperon Rose - DSC02782 - Copie

a des yeux magnifiques…


L’enfant et le(s) canard(s)

le canard - DSC02645

T’as de beaux yeux !

Leon et le canard - DSC02651


Le bouquet

DSC02619 bouquet


L’enfant et la machine

L'enfant et la machine - DSC02178 (bis)

Regarder la machine, voir apparaître l’enfant…Chance du photographe !

L'enfant et la machine - DSC02178


Amours débutants…

Bancs publics - DSC02084

Les gens qui voient de travers pensent que les bancs verts

Qu’on voit sur les trottoirs sont faits pour les impotents ou les ventripotents.

Mais c’est une absurdité, car à la vérité, ils sont là c’est notoire,

Pour accueillir quelques temps les amours débutants

 

Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, bancs publics, bancs publics,

En se foutant pas mal du regard oblique des passants honnêtes,

Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, bancs publics, bancs publics,

En se disant des «je t’aime» pathétiques, ont des petites gueules bien sympathiques !

 

Ils se tiennent par la main , parlent du lendemain, du papier bleu d’azur

Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher..

Ils se voient déjà, doucement, elle cousant, lui fumant, dans un bien-être sûr,

Et choisissent le prénom de leur premier bébé…

 

Quand la sainte famille machin croise sur son chemin deux de ces malappris,

Elle leur décroche hardiment des propos venimeux…

N’empêche que toute la famille ( le père, la mère, la fille, le fils, le Saint Esprit…)

Voudrait bien de temps en temps, pouvoir se conduire comme eux.

 

Quand les mois auront passé, quand seront apaisés leurs beaux rêves flambants,

Quand le ciel se couvrira de gros nuages lourds,

Ils s’apercevront, émus, que c’est au hasard des rues, sur l’un de ces fameux bancs,

Qu’ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour…