Catégorie : Art, Architecture & Patrimoine

Pour obtenir un beau son …

 

Master Classe de Nathalie Béra-Tagrine


ne pas crisper sa main,

maintenir la courbure naturelle des doigts.

Montrer, expliquer,

prendre la main de l’enfant,

lui faire sentir la bonne position,

détendre.

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Nathalie Béra-Tagrine, pianiste, compositrice,

pédagogue exigeante et généreuse qui sait transmettre avec patience et bonté

son amour de la musique et du piano en particulier.


Passion Piano, Passion Photo…


Plaisir de jouer sur un vieux Bechstein

 


Quand descend la nuit…


Beauté de la contrebasse

La contrebasse, comment ça marche ?

Lucas Henri

La contrebasse, mode d’emploi

Sandrine Vautrin


Souhaiter Bonne Année



Bonjour 2023 !

 


Messe de minuit à la Collégiale St Martin de Colmar


Vouloir photographier en même temps l’orgue et l’organiste

 

Buffet datant de 1755


Au coeur de nos villes…

faire naître l’espoir

 


Disparitions


Connaissez-vous les sanglots longs des violons ?

 

« Je n’arrive pas à me rendre compte si c’est votre fils qui fait des progrès en violon

ou si c’est nous qui nous habituons. »

William Somerset Maugham (1874-1965)


À l’ombre de la collégiale

 


Jouer…

une sonate de Mozart


Viva la musica !

 

„I believe perfect satisfaction can arise from a single note played beautifully “

Arvo Pärt

 

Pianos Fazioli & Bechstein

 


Hamsa, symbole de la main


Emmener les p’tites têtes blondes …

au musée

 

Stéphane Thidet, Sans titre (Le refuge), 2007, bois, plafond de pluie, meubles, objets divers

« Une cabane en bois, meublée succinctement. Un abri dans lequel il pleut sans cesse…à l’intérieur.
Ainsi le mot refuge perd tout son sens.

Question de temps ou de contre-temps, de point de vue, de dépérissement, d’inquiétude.

Le monde de Stéphane Thidet, souvent lié à l’enfance ou au divertissement, place le spectateur dans un état de gène et d’incertitude.

C’est un refuge qui se refuse à nous puisque la seule solution pour y entrer serait d’accepter d’être entièrement trempé,

de s’installer au sein de ce déluge pour en profiter.

Le refuge se trouve alors entièrement détourné de sa fonction première, celle d’abriter,
en oscillant entre hostilité et fascination parce que l’on a très envie d’y entrer, malgré son caractère peu accueillant.

L’œuvre joue sur les sensations, le bruit de la pluie diluvienne qui s’écoule,

l’humidité fraîche sur notre peau au fur et à mesure que l’on s’approche de l’entrée, des fenêtres.

Une forme de réalité très proche s’entremêle à une métaphore quasi surréaliste de la « maison qui pleure »

parce que nous avons tous cette volonté d’être abrité, par la maison de famille, par un cocon que l’on aimerait avoir ou que l’on arrive à avoir,

que l’on perd mais que l’on rêve de retrouver, que l’on pleure de chagrin »